La guerre a continué, après une multitude d’appels, de mails : j’ai enfin une date pour l’ESS « Équipe de Suivi de Scolarité ». L’enseignante référente doit avoir un boulot de dingue, j’en suis consciente, mais il aura fallu pas moins de 5 mails (parce que son téléphone sonne toujours dans le vide) pour qu’enfin j’obtienne une première réponse, puis encore 3 mails pour recevoir la date de l’ESS.
Le 8 mars, c’est donc LA date. RDV est pris avec la principale, (que j’ai déjà rencontré, et qui a dit à Raphaël « de ne pas s’inquiéter »), la professeur principale, l’enseignante référente donc, mais aussi l’orthophoniste, l’ergothérapeute et la psychométricienne (j’ai de la chance, elles se rendent toutes les 3 disponibles pour cette réunion).
À suivre donc…
Et pendant ce temps là, la petite sœur de Raphaël, qui n’allait pas bien, chez qui on soupçonnait un état dépressif (je m’occupe beaucoup de Raphaël), pour qui on a cherché si elle ne subissait pas un harcèlement scolaire… Cette même petite sœur a commencé à s’ennuyer en classe, dans la cour.
Le médecin nous a donc demandé de lui faire faire des tests de QI.
Parce que quand il y a, dans la fratrie, un enfant avec un profil atypique (TDA/H, dys etc…) il est intéressant de tester les autres enfants.
Et donc… Comme un bonheur n’arrive jamais seul, comme un seul enfant extraordinaire n’était pas suffisant dans notre famille, nous allons devoir gérer le profile HPI (Haut Potentiel Intellectuel) de la petite sœur. D’autres galères en perspective, dont l’école (encore) pour envisager un saut de classe. Là aussi, affaire un suivre.
Donc après le grand frère zèbre, je demande la petite sœur zèbre, il paraît qu’il faudrait aussi tester la sœur jumelle de Raphaël, mais bon on va attendre un peu.
Sur ce, la famille zèbre vous souhaite des bonnes vacances, qui, pour ma part arrivent à point nommé !